Qui suis-je ?
Spoiler Alert :
Mon parcours n'a rien de classique !

Le sais-tu ?
Affronter sa peur est
la seule façon de l'apprivoiser !

Le sais-tu ?
Affronter sa peur est
la seule façon de l'apprivoiser !

Le sais-tu ?
Affronter sa peur est
la seule façon de l'apprivoiser !

Le sais-tu ?
Affronter sa peur est
la seule façon de l'apprivoiser !
Vous vous attendiez peut-être à lire "diplomée d'une grande école de commerce ? "
Raté ! J'ai une licence en STAPS spécialité Boxe (ok et aussi un Master RH). Oui, vous avez bien lu. Et non, ce n'est pas une erreur de frappe.
La boxe, c'était ma thérapie à une époque où la colère dirigeait ma vie. Elle m'a appris quelque chose de fondamental : pour dépasser une peur il faut la confronter sinon elle grossit et te dévores. La confrontation m'a permis de dépasser mes croyances limitantes et de transformer mes peurs en force.
Cette philosophie du ring, je l'ai emportée partout avec moi.
Raté ! J'ai une licence en STAPS spécialité Boxe. Oui, vous avez bien lu. Et non, ce n'est pas une erreur de frappe.
La boxe, c'était ma thérapie à une époque où la colère dirigeait ma vie. Elle m'a appris quelque chose de fondamental : pour dépasser une peur il faut la confronter sinon elle grossit et te dévores.
La confrontation m'a permis de dépasser mes croyances limitantes et de transformer mes peurs en force.
Cette philosophie du ring, je l'ai emportée partout avec moi.
Raté ! J'ai une licence en STAPS spécialité Boxe. Oui, vous avez bien lu. Et non, ce n'est pas une erreur de frappe.
La boxe, c'était ma thérapie à une époque où la colère dirigeait ma vie. Elle m'a appris quelque chose de fondamental : pour dépasser une peur il faut la confronter sinon elle grossit et te dévores.
La confrontation m'a permis de dépasser mes croyances limitantes et de transformer mes peurs en force.
Cette philosophie du ring, je l'ai emportée partout avec moi.
Raté ! J'ai une licence en STAPS spécialité Boxe. Oui, vous avez bien lu. Et non, ce n'est pas une erreur de frappe.
La boxe, c'était ma thérapie à une époque où la colère dirigeait ma vie. Elle m'a appris quelque chose de fondamental : pour dépasser une peur il faut la confronter sinon elle grossit et te dévores.
La confrontation m'a permis de dépasser mes croyances limitantes et de transformer mes peurs en force.
Cette philosophie du ring, je l'ai emportée partout avec moi.




" Du ring… aux ressources humaines "

Puis au business, par défi !
Puis au business, par défi !
après un master rh
Parce que j'avais envie d'aider les adultes, l'enseignement traditionnel m'ayant quelque peu... découragée, je me suis retrouvée face à une réalité brutale : en entreprise, seuls comptent le business et la rentabilité. Pour exister, il fallait faire du chiffre et... être un homme.
Le bon vieux cliché homme/femme ? Je l'ai vécu en direct.
Anecdote savoureuse : lors d'un team-building, on m'a dit que je m'étais "trompée de wagon" - celui des RH (donc des filles) était ailleurs, le wagon business étant "réservé aux hommes"…
Bref, vu ce contexte j'ai lancé un défi à mon CEO de l'époque : basculer dans le commercial. S'il réussissait à me faire réussir, il était visionnaire. Si j'échouais, il avait raison après tout : "je ne suis qu'une fille". Challenge accepted !
Résultat ? J'ai tout appris sur le terrain, développé un portefeuille client de zéro en plein mois de juillet-août, et atteint mes objectifs. J'ai même reçu la visite de l'inspecteur du travail parce que j'embauchais des étrangers (oh là là, mauvaise fille !).
Parce que j'avais envie d'aider les adultes, l'enseignement traditionnel m'ayant quelque peu... découragée, je me suis retrouvée face à une réalité brutale : en entreprise, seuls comptent le business et la rentabilité. Pour exister, il fallait faire du chiffre et... être un homme.
Le bon vieux cliché du plafond de verre ? Je l'ai vécu en direct. Anecdote savoureuse : lors d'un team-building, on m'a dit que je m'étais "trompée de wagon" - celui des RH (donc des filles) était ailleurs, le wagon business étant "réservé aux hommes".
Mon CEO de l'époque m'a lancé un défi : basculer dans le commercial. S'il réussissait à me faire réussir, il était visionnaire. Si j'échouais, il avait raison après tout : "je ne suis qu'une fille". Challenge accepted !
Résultat ? J'ai tout appris sur le terrain, développé un portefeuille client de zéro en plein mois de juillet-août, et atteint mes objectifs. J'ai même reçu la visite de l'inspecteur du travail parce que j'embauchais des étrangers (oh là là, mauvaise fille !).



après un master rh
Parce que j'avais envie d'aider les adultes, l'enseignement traditionnel m'ayant quelque peu... découragée, je me suis retrouvée face à une réalité brutale : en entreprise, seuls comptent le business et la rentabilité. Pour exister, il fallait faire du chiffre et... être un homme.
Le bon vieux cliché homme/femme ? Je l'ai vécu en direct.
Anecdote savoureuse : lors d'un team-building, on m'a dit que je m'étais "trompée de wagon" - celui des RH (donc des filles) était ailleurs, le wagon business étant "réservé aux hommes"…
Bref, vu ce contexte j'ai lancé un défi à mon CEO de l'époque : basculer dans le commercial. S'il réussissait à me faire réussir, il était visionnaire. Si j'échouais, il avait raison après tout : "je ne suis qu'une fille". Challenge accepted !
Résultat ? J'ai tout appris sur le terrain, développé un portefeuille client de zéro en plein mois de juillet-août, et atteint mes objectifs. J'ai même reçu la visite de l'inspecteur du travail parce que j'embauchais des étrangers (oh là là, mauvaise fille !).




L'escalade…puis la chute
Pendant 15 ans, j'ai grimpé les échelons, endossé la cape du "super manager" (traduction : copier-coller ce qu'on voit et ce qu'on nous dit de faire). Mais on te demande aussi d’être originale mais docile (oui, ça existe). Tu finis super-manager-sous-pression, dans la course métro-boulot-dodo, toujours à 1,000 à l’heure. Jusqu’au moment où le système sature : burn out, arrêt sur image.
Parce qu'être Manager, c'est un métier ingrat : toujours coincé entre la direction et les équipes, faire toujours plus avec moins, être le chef des uns et le sous-fifre des autres. Sans outils concrets, juste des team-buildings "sans saveurs et sans valeurs" qui ne créent aucune vraie confiance.
Alors la tempête a fini par me rattraper. Burn-out évité de justesse, j'ai tout arrêté. J'ai pris le temps. Réappris à respirer, à poser mon cerveau quelque part et à réintégrer mon corps.

L'escalade…puis la chute
Pendant 15 ans, j'ai grimpé les échelons, endossé la cape du "super manager" (traduction : copier-coller ce qu'on voit et ce qu'on nous dit de faire). Mais on te demande aussi d’être originale mais docile (oui, ça existe). Tu finis super-manager-sous-pression, dans la course métro-boulot-dodo, toujours à 1,000 à l’heure. Jusqu’au moment où le système sature : burn out, arrêt sur image.
Parce qu'être Manager, c'est un métier ingrat : toujours coincé entre la direction et les équipes, faire toujours plus avec moins, être le chef des uns et le sous-fifre des autres. Sans outils concrets, juste des team-buildings "sans saveurs et sans valeurs" qui ne créent aucune vraie confiance.
Alors la tempête a fini par me rattraper. Burn-out évité de justesse, j'ai tout arrêté. J'ai pris le temps. Réappris à respirer, à poser mon cerveau quelque part et à réintégrer mon corps.
Le déclic
C'est là que tout a changé. Je voulais transmettre tout ce qui m'avait manqué en tant que manager. Parce que personne ne devrait vivre ce que j'ai vécu sans les bons outils.
J'ai plongé dans mon sujet préféré : TOI. Autrement dit, la psychologie humaine. PNL, CNV, thérapies d'impact, MBTI, DISC, PCM... J'ai beaucoup étudié, beaucoup testé.
Tout ça, c’est bien, mais trop souvent, on reste spectateur de sa propre évolution. Or, apprendre, c’est bouger, vivre, ressentir. Si c’est le/la formateur·rice qui fait tout le job, rien ne change en toi : c’est du déguisement, pas de la transformation.
Or le déclic c'est toi qui doit l'avoir : Tu dois être acteur/trice de ta transformation !
C'est là que tout a changé. Je voulais transmettre tout ce qui m'avait manqué en tant que manager. Parce que personne ne devrait vivre ce que j'ai vécu sans les bons outils.
J'ai plongé dans mon sujet préféré : TOI. Autrement dit, la psychologie humaine. PNL, CNV, thérapies d'impact, MBTI, DISC, PCM... J'ai beaucoup étudié, beaucoup testé.
Tout ça, c’est bien, mais trop souvent, on reste spectateur de sa propre évolution. Or, apprendre, c’est bouger, vivre, ressentir. Si c’est le/la formateur·rice qui fait tout le job, rien ne change en toi : c’est du déguisement, pas de la transformation.
Or le déclic c'est toi qui doit l'avoir : Tu dois être acteur/trice de ta transformation !
C'est là que tout a changé. Je voulais transmettre tout ce qui m'avait manqué en tant que manager. Parce que personne ne devrait vivre ce que j'ai vécu sans les bons outils.
J'ai plongé dans mon sujet préféré : TOI. Autrement dit, la psychologie humaine. PNL, CNV, thérapies d'impact, MBTI, DISC, PCM... J'ai beaucoup étudié, beaucoup testé.
Tout ça, c’est bien, mais trop souvent, on reste spectateur de sa propre évolution. Or, apprendre, c’est bouger, vivre, ressentir. Si c’est le/la formateur·rice qui fait tout le job, rien ne change en toi : c’est du déguisement, pas de la transformation.
Or le déclic c'est toi qui doit l'avoir : Tu dois être acteur/trice de ta transformation !



Le déclic
C'est là que tout a changé. Je voulais transmettre tout ce qui m'avait manqué en tant que manager. Parce que personne ne devrait vivre ce que j'ai vécu sans les bons outils.
Tout ça, c’est bien, mais trop souvent, on reste spectateur de sa propre évolution. Or, apprendre, c’est bouger, vivre, ressentir. Si c’est le/la formateur·rice qui fait tout le job, rien ne change en toi : c’est du déguisement, pas de la transformation.
Or le déclic c'est toi qui doit l'avoir : Tu dois être acteur/trice de ta transformation !



La naissance de la méthode lunettes®
Cette méthode c'est : vive les déclics, adieu les modèles figés !
Ma conviction : on ne « jette » pas ses bagages de vie, on apprend à vivre avec (parce qu'ils reviennent toujours par la porte ou la fenêtre). Ce chemin, de la prise de conscience à l’action, en passant par l’expression des émotions, je l’ai transformé en méthode, forgée sur 15 ans d’expériences concrètes et une approche humaine assumée, bien loin des solutions packagées.
Ici, personne ne rentre dans des cases. Parce que ce qui marche, c’est l’authenticité et la transformation menée de l’intérieur.

La naissance de la méthode lunettes®
Cette méthode c'est : vive les déclics, adieu les modèles figés !
Ma conviction : on ne « jette » pas ses bagages de vie, on apprend à vivre avec (parce qu'ils reviennent toujours par la porte ou la fenêtre). Ce chemin, de la prise de conscience à l’action, en passant par l’expression des émotions, je l’ai transformé en méthode, forgée sur 15 ans d’expériences concrètes et une approche humaine assumée, bien loin des solutions packagées.
Ici, personne ne rentre dans des cases. Parce que ce qui marche, c’est l’authenticité et la transformation menée de l’intérieur.

" Aujourd'hui, je guide les managers, cadres dirigeants, salariés, entrepreneurs et étudiants vers leur propre transformation.
Sans déguisement. Avec authenticité. Et beaucoup d'humanité.
Parce-que dans un monde de business, nous restons avant tout des humains."
Laura Lizama






















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